COMPLAINTE...
Petite baisse de moral, manque de tonus, sommeil en retard et vraie envie d'un moment familial serein incompatible avec l'enchaînement des événements actuels, la coquillette n'est, aujourd'hui, pas au mieux de sa forme. Et comme très souvent dans ces cas là, les grains de sable quotidiens se transforment en montagnes limite infranchissables. Alors je me réfugie dans mon canapé aussitôt le soir arrivé, aiguille en main, pour tirer le fil de mes péripéties nouillesques et tenter d'y trouver un sens. Moins concentrée, je brode, mais mal. Au sens propre comme au figuré. Faire et défaire, c'est aussi comme cela qu'on apprend paraît-il mais qu'elle perte de temps quand c'est justement ce qui nous manque ! Mon énergie, moins canalisée, se perd dans les méandres de mes doutes perpétuels et je bois la tasse (ou de travers !) trop souvent ces derniers temps. Que c'est usant de faire du surplace ! Aurai-je donc besoin de vacances ???